Les décisions de non-éligibilité prise par l'Organisation internationale pour les réfugiés pendant la durée de son mandat ne font pas obstacle à ce que la qualité de réfugié soit accordée à des personnes qui remplissent les conditions prévues au paragraphe 2 de la présente section.
Etant entendu, toutefois, que les dispositions du présent paragraphe ne s'appliqueront pas à tout réfugié visé au paragraphe 1 de la section A du présent article qui peut invoquer, pour refuser de se réclamer de la protection du pays dont il a la nationalité, des raisons impérieuses tenant à des persécutions antérieures;
Personnes Nues Pour Aucune Raison
Etant entendu, toutefois, que les dispositions du présent paragraphe ne s'appliqueront pas à tout réfugié visé au paragraphe 1 de la section A du présent article qui peut invoquer, pour refuser de retourner dans le pays dans lequel il avait sa résidence habituelle, des raisons impérieuses tenant à des persécutions antérieures.
D. Cette Convention ne sera pas applicable aux personnes qui bénéficient actuellement d'une protection ou d'une assistance de la part d'un organisme ou d'une institution des Nations Unies autre que le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés.
Lorsque cette protection ou cette assistance aura cessé pour une raison quelconque, sans que le sort de ces personnes ait été définitivement réglé, conformément aux résolutions y relatives adoptées par l'Assemblée générale des Nations Unies, ces personnes bénéficieront de plein droit du régime de cette Convention.
Aux fins de cette Convention, les termes "dans les mêmes circonstances" impliquent que toutes les conditions (et notamment celles qui ont trait à la durée et aux conditions de séjour ou de résidence) que l'intéressé devrait remplir, pour pouvoir exercer le droit en question, s'il n'était pas un réfugié, doivent être remplies par lui à l'exception des conditions qui, en raison de leur nature, ne peuvent être remplies par un réfugié.
ii ) Des dispositions particulières prescrites par la législation nationale du pays de résidence et visant les prestations ou fractions de prestations payables exclusivement sur les fonds publics, ainsi que les allocations versées aux personnes qui ne réunissent pas les conditions de cotisation exigées pour l'attribution d'une pension normale.
1. Les Etats contractants délivreront aux réfugiés résidant régulièrement sur leur territoire des titres de voyage destinés à leur permettre de voyager hors de ce territoire à moins que des raisons impérieuses de sécurité nationale ou d'ordre public ne s'y opposent; les dispositions de l'annexe à cette Convention s'appliqueront à ces documents. Les Etats contractants pourront délivrer un titre de voyage à tout autre réfugié se trouvant sur leur territoire; ils accorderont une attention particulière aux cas de réfugiés se trouvant sur leur territoire et qui ne sont pas en mesure d'obtenir un titre de voyage du pays de leur résidence régulière.
2. L'expulsion de ce réfugié n'aura lieu qu'en exécution d'une décision rendue conformément à la procédure par la loi. Le réfugié devra, sauf si des raisons impérieuses de sécurité nationale s'y opposent, être admis à fournir des preuves tendant à le disculper, à présenter un recours et à se faire représenter à cet effet devant une autorité compétente ou devant une ou plusieurs personnes spécialement désignées par l'autorité compétente.
3. Les Etats contractants accorderont à un tel réfugié un délai raisonnable pour lui permettre de chercher à se faire admettre régulièrement dans un autre pays. Les Etats contractants peuvent appliquer, pendant ce délai, telle mesure d'ordre interne qu'ils jugeront opportune.
2. Le bénéfice de la présente disposition ne pourra toutefois être invoqué par un réfugié qu'il y aura des raisons sérieuses de considérer comme un danger pour la sécurité du pays où il se trouve ou qui, ayant été l'objet d'une condamnation définitive pour un crime ou délit particulièrement grave, constitue une menace pour la communauté dudit pays.
3. En ce qui concerne les territoires auxquels cette Convention ne s'appliquerait pas à la date de la signature, ratification ou adhésion, chaque Etat intéressé examinera la possibilité de prendre aussitôt que possible toutes mesures nécessaires afin d'aboutir à l'application de cette Convention auxdits territoires sous réserve, le cas échéant, de l'assentiment des gouvernements de ces territoires qui serait requis pour des raisons constitutionnelles.
Depuis mon entrée dans l'âge adulte, j'ai toujours dormi nu...ou à moitié!De ma prime jeunesse j'ai toujours conservé et porté un T-shirt pour couvrir mes épaules car sans celui-ci la tendance à me réveiller me semble bien plus grande que ce soit en été ou en hiver !!Cette manière de dormir à conduit mon épouse à enlever à son tour tout pyjama pour ne conserver qu'une nuisette soyeuse qui permet le contact tactile plus harmonieux tout en conservant une très belle féminité.Cependant aujourd'hui je suis stupéfait par le nombre croissant de jeunes femmes ne portant plus de culotte ou slip sous leurs pantalons ou robes et je n'en connais pas la raison raisonnable!!
Définition : une comparaison en une mise en relation, à l'aide d'un mot de comparaison appelé le comparatif , de deux réalités, choses, personnes etc. différentes mais partageant des similarités. La comparaison est l'une des plus célèbres figures de style et est très utilisée.
Attention à ne pas confondre la figure de style avec la comparaison grammaticale qui est utilisée pour montrer des différences ou des ressemblances. On distingue deux types de comparaison selon Bernard Dupriez :
La dernière édition de L'état de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde, publiée aujourd'hui, estime que près de 690 millions de personnes ont souffert de la faim en 2019, soit une augmentation de 10 millions par rapport à 2018, et de près de 60 millions en cinq ans. En raison des coûts élevés et de la faiblesse des moyens financiers, des milliards de personnes ne peuvent pas adopter une alimentation saine ou nutritive. C'est en Asie que les personnes qui souffrent de la faim sont les plus nombreuses, mais c'est en en Afrique que leur nombre croît le plus rapidement. Selon le rapport, la pandémie de covid-19 pourrait faire basculer plus de 130 millions de personnes supplémentaires dans la faim chronique d'ici à la fin de 2020 (et les flambées de faim aiguë dans le contexte de la pandémie pourraient faire encore grimper ce nombre ponctuellement).
L'Asie reste la région où l'on trouve le plus grand nombre de personnes sous-alimentées (381 millions). L'Afrique vient en deuxième position (250 millions), suivie de l'Amérique latine et des Caraïbes (48 millions). La prévalence mondiale de la sous-alimentation, soit le pourcentage global de personnes qui souffrent de la faim, évolue peu- autour de 8,9 pour cent -, mais les chiffres absolus sont en augmentation depuis 2014. Cela signifie que ces cinq dernières années, la faim a augmenté au même rythme que la population mondiale.
Cette situation, à son tour, masque de grandes disparités régionales: en pourcentage, l'Afrique est la région la plus touchée - et la situation continue de s'aggraver -, puisque 19,1 pour cent de sa population est sous-alimentée. Ce taux est plus de deux fois supérieur à ceux de l'Asie (8,3 pour cent) et de l'Amérique latine et des Caraïbes (7,4 pour cent). Si la tendance actuelle se poursuit, en 2030, l'Afrique abritera plus de la moitié des personnes qui souffrent de manière chronique de la faim dans le monde.
Alors que la lutte contre la faim stagne, la pandémie de covid-19 intensifie les vulnérabilités et les insuffisances des systèmes alimentaires mondiaux, c'est-à-dire l'ensemble des activités et des processus qui affectent la production, la distribution et la consommation d'aliments. Bien qu'il soit trop tôt pour évaluer l'impact total des mesures de confinement, le rapport estime qu'au minimum 83 millions de personnes supplémentaires, peut-être même 132 millions, pourraient souffrir de la faim en 2020 en raison de la récession économique déclenchée par la pandémie. Ce revers jette un doute supplémentaire sur la réalisation du deuxième objectif de développement durable (Faim zéro).
Vaincre la faim et la malnutrition sous toutes ses formes (y compris la dénutrition, les carences en micronutriments, le surpoids et l'obésité) ne se limite pas à assurer une alimentation suffisante pour survivre: ce que les gens et, surtout, les enfants mangent doit également être nutritif. Or, un obstacle majeur est, pour un grand nombre de familles, le coût élevé des aliments nutritifs et la difficulté d'accéder, pour des raisons économiques, à une alimentation bonne pour la santé.
Selon les dernières estimations, ce sont pas moins de 3 milliards de personnes, au bas mot, qui ne peuvent pas se permettre une alimentation saine. En Afrique subsaharienne et en Asie du Sud, c'est le cas de 57 pour cent de la population, mais aucune région, pas même l'Amérique du Nord ni l'Europe, n'est épargnée. C'est en partie pour cette raison que la course engagée pour mettre fin à la malnutrition semble compromise. Selon le rapport, en 2019, entre un quart et un tiers des enfants de moins de cinq ans (191 millions) souffraient d'un retard de croissance ou d'émaciation - c'est-à-dire étaient trop petits ou trop maigres. En outre, 38 millions d'enfants de moins de cinq ans étaient en surpoids. Chez les adultes, pendant ce temps, l'obésité est devenue une pandémie mondiale à part entière.
Les chefs de secrétariat des cinq institutions des Nations Unies autrices du rapport sur L'état de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde disent s'engager à appuyer ce changement capital, en veillant à ce que celui-ci soit durable, pour les personnes et la planète. 2ff7e9595c
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